• c'est le nombre d'enfants déjà exhumés

    mon cœur est triste 

     

     

     


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  • ►  Merry Christmas

    ►  Merry Christmas

    Pour vous tous ,amis ,abonnés à la newsletter et visiteurs 

    JOYEUX NOEL 

     

     


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  • ►  Lakota People's

    Cette murale de l'artiste autochtone Twenny représente le chef Orville Looking Horse et le système de valeurs Lakota. Il orne le mur du salon de Niyakhe Yuza , rappelant à nos enfants les principes les plus importants de notre culture.

     

     


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  •  

    tu écrivais encore , n'est - ce pas ?

     

     

     


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  • Larry Sellers est un acteur américain né le 2 octobre 1949 à Pawhuska, Oklahoma, et mort le 9 décembre 2021 à l'âge de 72 ans . Plus connu en tant que Nuage Dansant dans la série Docteur Quinn, femme médecin. Il joue également « l'indien zarbi à moitié à poil » dans le film Wayne's World 2

    il était d'origine Osage, Cherokee et Lakota

    ►  décès de Larry Sellers

    ►  décès de Larry Sellers

     

     

     


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  • ►  il est temps de libérer LEONARD PELTIER

    Robert Kennedy discutant des besoins des Indiens avec Alfred Pilsmore, un Sioux Lakota de 86 ans, le 16 avril 1968 sur la réserve indienne de Pine Ridge (Dakota du Sud) - Crédit : Associated Press -

    IL EST TEMPS DE LIBÉRER LEONARD PELTIER1

     

    PAR LEVI RICKERT (SITE WEB NATIVE NEWS ONLINE, 29 AOÛT 2021)

    (TRADUIT DE L’ANGLAIS ET ANNOTÉ PAR ISMÈNE TOUSSAINT)

    L’historien Arthur M. Schlesinger fils a écrit dans Robert Kennedy et son temps2 : « le jour même où Robert Kennedy mourut, un membre de la Nation Sénéca de New York, dont il avait visité la réserve en 1967, adressa le message suivant à sa veuve : « nous l’aimions aussi. Mme Kennedy, aimer un personnage public officiel, c’est presque du jamais vu pour un Indien. Nous avions confiance en lui. Ce qui est aussi du jamais vu pour un Indien. Nous avions foi en lui. »

    Feu l’érudit indien américain Vine Deloria fils3 a également écrit ceci à son sujet : « c’était un homme qui pouvait se déplacer d’un monde à l’autre sans jamais être un étranger nulle part... Sur le plan spirituel, c’était un Indien. »

    Robert Kennedy (1925-1968) était un héros pour les Indiens américains parce qu’il était un des rares hommes politiques à avoir prêté attention à la pauvreté de masse, au manque de logements et à la précarité des services de soins dans les réserves.

    Frère cadet du président John F. Kennedy, il servait dans son administration en qualité de ministre de la Justice des États-Unis. Après l’assassinat de son aîné, il devint sénateur des États-Unis, représentant New York. En 1968, il chercha à être investi candidat à l'élection présidentielle par le Parti démocrate.

    Le 4 juin 1968, il remporta la primaire de Californie. Quelques minutes après avoir prononcé son discours de réception, il quitta le podium et on lui fit faire un détour par la cuisine de l’hôtel Ambassador. Sirhan4 attendait le sénateur avec un fusil chargé et tira trois fois sur lui à bout portant. On plaqua le tueur sur le sol, où on le maintint jusqu’à ce que les forces policières viennent l’arrêter.

    Ayant été condamné pour meurtre au premier degré, Sirhan est incarcéré depuis 53 ans. Vendredi dernier, à Los Angelès, le jury d’un comité de probation a recommandé sa libération. Cette recommandation n’accorde pas de libération immédiate. Le comité de probation a 120 jours pour réviser la recommandation des deux jurys. Puis on donnera au gouverneur de Californie la possibilité de rejeter la décision.

    La recommandation de vendredi, susceptible de mener à la libération de Sirhan, m’a fait songer à Leonard Peltier, un membre de la Nation chippewa de Turtle Mountain (Montagne-à-la-Tortue, Dakota du Nord), qui est emprisonné depuis 46 ans : il avait été accusé du meurtre de deux agents du FBI [Jack Coler et Ron Williams], qui s’était déroulé en 1975 à Oglala, sur la réserve indienne de Pine Ridge (Dakota du Sud).

    Pour de nombreux Indiens américains et bien d’autres gens, Leonard Peltier, qui aura 77 ans le 12 septembre prochain, est un symbole du système fédéral oppressif qui relègue les Autochtones à une place sombre dans la société américaine. C’est un prisonnier politique auquel nous ne pensons jamais, sauf quand il nous arrive de voir une étiquette collée sur le parechoc arrière d’un véhicule avec la mention : « LIBÉREZ Leonard Peltier ! »

    « S’ils peuvent recommander la libération de Sirhan, qui a tué une figure aussi emblématique que Robert Kennedy, ils devraient certainement libérer Leonard Peltier, me disait le conseiller spirituel de ce dernier, Lenny Foster, de la Nation Diné. Il souffre depuis des années de graves problèmes de santé. Ce sont ses croyances spirituelles qui le soutiennent. »

    Ancien juge en chef de la Cour de District des États-Unis pour le District du Milieu du Tennessee, Me Kevin Sharp, qui exerce aujourd’hui dans le secteur privé, a accepté de s’occuper à titre gracieux du cas de Peltier et de se battre pour sa liberté.

    « Plutôt que de recevoir la protection égale pour tous en vertu de la loi, Leonard Peltier a été accusé sur la base d’une preuve fabriquée, d’un faux témoignage et d’un test balistique disculpatoire qui est demeuré caché, déclarait-il samedi dernier à Native News Online. Même si le gouvernement fédéral admet aujourd’hui qu’on ignore qui a tué les agents, Leonard reste en prison non pas parce que la preuve se situe au-delà du doute raisonnable, mais pour des raisons politiques. Sa dernière chance de libération, c’est la voix collective des gens qui se soucient de lui et qui osent se lever pour la justice et la miséricorde. »

    Leonard Peltier n’est pas éligible à une libération conditionnelle avant 2024. Mais Me Sharp ne veut pas attendre pour essayer d’obtenir sa liberté. Il aimerait voir le président Joe Biden lui accorder la clémence.

    Kevin Sharp bénéficie de l’appui de l’ancien ministre de la Justice des États-Unis, James H. Reynolds, qui avait poursuivi M. Peltier au nom du gouvernement fédéral. Dans une lettre au président Biden datée du 9 juillet 2021, celui-ci lui demande de commuer la sentence de M. Peltier :

    « La condamnation et l’incarcération à perpétuité de Leonard Peltier sont le testament d’une époque et d’un système de justice qui ont fait long feu dans notre société », écrit-il. Et il conclut ainsi : « Je vous presse de tracer une voie différente dans l’histoire des relations entre le gouvernement et ses Autochtones par un geste de miséricorde, plutôt que par une indifférence continuelle. Je vous presse de faire un pas pour guérir une blessure que j’ai moi-même contribué à ouvrir. Je vous presse de commuer la sentence de Leonard Peltier en lui accordant la clémence exécutive. »

    Au mois de mai 2020, la représentante politique Deb Haaland5 « twittait » déjà ceci :

    « Le Congrès n’a pas pesé cette question depuis des années. Je presse l’administration de libérer de prison le militant des droits autochtones Leonard Peltier en raison du COVID-19. A 75 ans, avec des problèmes de santé chroniques, il est urgent que nous libérions Leonard Peltier. #FreeLeonardPeltier. »

    A présent qu’elle est secrétaire au ministère de l’Intérieur, peut-être pourra-t-elle bénéficier de l’écoute du président et lui murmurer à l’oreille : « il est temps de libérer Leonard Peltier. »

    Levi Rickert, directeur/fondateur de Native News Online

    Article paru dans le site Web Native News Online, August, 29th, 2021, https://nativenewsonline.net/opinion/it-s-time-to-release-leonard-peltier

    NOTES

    1. Leonard Peltier (1944-). Leader, artiste-peintre et prisonnier politique autochtone américain. Né à Grand Forks (Dakota du Nord), ce membre des Nations sioux-lakota, anishinabée et chippewa, d'ascendance métisse canadienne française, joua un rôle important dans les années 1970 au sein de l'American Indian Movement (AIM, Mouvement des Indiens américains), dans le réveil de la fierté autochtone et des revendications des siens. En 1975, il fut accusé du meurtre de deux policiers fédéraux qui avait eu lieu dans la réserve de Pine Ridge (Dakota du Sud), lors de la commémoration du massacre des Sioux de Wounded Knee (1890), puis condamné sans preuves en 1977 à deux peines d'emprisonnement à perpétuité. Malgré la pression internationale, il est toujours détenu au pénitencier de Coleman (Floride).

    2. Arthur Meier Schlesinger fils (1917-2007). Historien américain. Originaire de Columbus (Ohio), ce professeur d’histoire enseigna à l’Université Harvard (Cambridge, Massachusets) avant de devenir assistant particulier dans le gouvernement de John F. Kennedy : il était notamment chargé de coécrire ses discours. Spécialiste des présidences et du libéralisme des hommes politiques américains (au sens de « social-démocratie » à l’européenne), il publia de très nombreux ouvrages, dont The Age of Jackson (L’Ere Jackson, 1945) ; A Thousand Days: John F. Kennedy in the White House (Les mille jours : John F. Kennedy à la Maison Blanche, 1965) ; Robert Kennedy and His Times (Robert Kennedy et son temps, 1978) ; War and the Constitution: Abraham Lincoln and Franklin D. Roosevelt (La guerre et la Constitution : Abraham Lincoln et Franklin D. Roosevelt, 1988) ; The Disuniting of America: Reflections on a Multicultural Society (La désunion de l’Amérique : réflexions sur une société multiculturelle, 1991).

     

    3. Vine Deloria fils (1933-2005). Historien et théologien sioux, militant des droits des Autochtones américains. Né à Martin (Dakota du Sud), il grandit sur la réserve des Sioux de Standing Rock (Le Rocher Debout, même État). Après ses études de droit, de sciences politiques et de théologie, il effectua une carrière d’enseignant dans diverses universités du pays. Élu en 1964 directeur exécutif du Congrès national des Indiens américains (National Congress of American Indians, NCAI), il rejoignit le Mouvement des Indiens américains (American Indian Movement, AIM) dès sa fondation, en 1968. L’année suivante, il publia un ouvrage qui attira l’attention nationale sur le sort des siens : Custer Died for Your Sins: An Indian Manifesto (Custer est mort pour vos péchés : manifeste indien). Dans les années 1970, tout en professant à l’Université de l’ouest de Washington à Bellingham (Western Washington University, Washington DC), il se fit le défenseur des traités de droits de pêche des tribus locales. De son imposante bibliographie sur ses compatriotes, on retiendra en particulier God is Red: A Native View of Religion (Dieu est rouge : la religion vue par les Autochtones, 1974).

     

    4. Sirhan Sirhan (1944-). Originaire de Jérusalem (Israël), ce Palestinien d’origine jordanienne assassina le sénateur démocrate Robert Kennedy le 4 juin 1968 à l’hôtel Ambassador de Los Angelès, sous prétexte que celui-ci soutenait l’État d’Israël. L’homme politique de 43 ans venait de remporter la primaire de Californie et s’acheminait avec succès vers la présidence des États-Unis. Condamné l’année suivante à la peine de mort, Sirhan vit sa sentence commuée en détention à perpétuité.

    5. Deb Haaland (Debra Anne Haaland, dite ; 1960-) Femme politique métisse américaine. Née à Wislow (Arizona), d’un père norvégio-américain et d’une mère Pueblo Laguna, elle effectua des études de droit à l’Université du Nouveau-Mexique, à Albuquerque. Ayant rejoint les rangs du Parti démocrate en 2004, elle fut en 2018 la première Autochtone (avec Sharice Davids, au Kansas) à devenir membre du Congrès, représentant la Chambre du Nouveau-Mexique. En 2021, elle fut également la première Amérindienne à être nommée secrétaire au ministère de l’Intérieur dans le gouvernement de Joe Biden. Défenseure des ressources naturelles, elle est aussi activement engagée dans le dossier des Femmes autochtones disparues et assassinées (Missing and Murdered Indigenous Women, MMIW).

     

     

     


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  • ►  Teepees will illuminate

    Sept tipis illumineront l'horizon sur Peets Hill à Bozeman, Montana, du 8 au 18 octobre pour célébrer la Journée des peuples autochtones 2021. (Photo de Mountain Time Arts)

    Arts du temps de la montagne

    Mountain Time Arts a commandé sept tipis illuminés qui seront érigés à l'extrémité sud de Peets Hill du 8 au 18 octobre pour célébrer la Journée des peuples autochtones cette année. Les tipis seront construits par le Rocky Mountain Tribal Leaders Council et la Pretty Shield Foundation. Les lodges honoreront les contributions des Indiens d'Amérique à notre communauté, à nos paysages et à notre riche culture. Les tipis seront installés sur les terres ancestrales des Salish Bitteroot, Pend d'Oreille, Kootenai, Blackfeet, Northern Cheyenne, Crow, Chippewa Cree, Assiniboine, Gros Ventre, Dakota et d'autres Nations autochtones de cette région.

    Sur la photo : sept tipis illuminés doivent être érigés à l'extrémité sud de Peets Hill à Bozeman, Montana, du 8 au 18 octobre pour célébrer la Journée des peuples autochtones 2021.

    Sur la photo : sept tipis illuminés doivent être érigés à l'extrémité sud de Peets Hill à Bozeman, Montana, du 8 au 18 octobre pour célébrer la Journée des peuples autochtones.

    (Photo: Arts du temps de la montagne)

    En tant que l'un des premiers partisans de la Journée des peuples autochtones dans l'État du Montana, la ville de Bozeman, a permis avec empressement et gracieusement d'élever les tipis sur Peets Hill. La mairesse de Bozeman, Cyndy Andrus, prononcera une reconnaissance de la terre et sa proclamation annuelle de la Journée des peuples autochtones des tipis cette année à 18 h 15 le 11 octobre. Sa proclamation renouvelle l'engagement de la ville à honorer les intendants originaux de notre magnifique paysage.

    William (Bill) Snell, directeur exécutif du Rocky Mountain Tribal Leaders Council, souligne que la Journée des peuples autochtones s'adresse à tous dans toute la communauté « Nous apportons espoir, respect et honneur à tous lorsque nous reconnaissons la « Journée des Autochtones ». Cette journée est pour tous les habitants de notre nation.

    C'est ce que pense Francesca Pine-Rodriguez, codirectrice exécutive de Mountain Time Arts. La Journée des peuples autochtones est importante pour tout le monde dans le pays afin de comprendre l'histoire de notre nation. "Faire avancer tout le monde ensemble, c'est reconnaître la vraie histoire", a déclaré Pine-Rodriguez. « C'est reconnaître que la terre sur laquelle vous marchez tous les jours était la terre d'une tribu et qu'elle est sacrée pour elle. Et le reconnaître est un minimum. La prochaine étape est de l'honorer et de le célébrer.

    La mairesse de Bozeman, Cyndy Andrus, reconnaît les contributions importantes des peuples autochtones, la riche histoire et les influences contemporaines qui font de Bozeman ce qu'elle est aujourd'hui. « En tant que ville, nous nous engageons à faire de Bozeman un endroit plus équitable et inclusif où tous sont les bienvenus », a déclaré Andrus. « Nous grandissons chaque jour et, ce faisant, nous devons reconnaître et conserver un espace pour les peuples autochtones et les terres sur lesquelles notre communauté est construite. » 

    La ville de Bozeman, Mountain Time Arts, le Rocky Mountain Tribal Leaders Council et la Pretty Shield Foundation invitent tout le monde à monter aux tipis entre le 8 et le 18 octobre et à célébrer le patrimoine autochtone de notre pays.

    Mountain Time Arts est actuellement à la recherche de bénévoles intéressés à agir comme guides pendant la journée pour les tipis. Les personnes intéressées doivent s'inscrire sur mountaintimearts.org/volunteer

    Les membres de la communauté sont invités à faire des dons pour l'éclairage des tipis sur mountaintimearts.org/illuminating-indigenous-peoples-day ou Mountain Time Arts, 104 East Main Street, Suite One, Bozeman, Montana 59715. 

    Les dons à la Fondation Pretty Shield seront acceptés aux tipis et peuvent être effectués par l'intermédiaire de la Fondation Pretty Shield, 3122 Brayton Street, Billings, Montana 59102. 

    Veuillez contacter MaryBeth Morand, marybeth@mountaintimearts.org, et Francesca Pine-Rodriguez, francesca@mountaintimearts.org pour plus d'informations.

    ( Article de Indian Country Today )

     

     

     


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  •  

    réalisation de l'artiste Gary 'Redwing' Hunt

    tuto détaillé ici   beaded-baseballcap

     

     

     


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  • File:Woundedknee1891.jpg - Wikimedia Commons

    Charnier à Wounded Knee
    (Dakota du Sud, 29 décembre 1890)

    LA PRESSION MONTE POUR QUE LE PRÉSIDENT DES
    ÉTATS-UNIS, JOE BIDEN, RETIRE LES MÉDAILLES
    D’HONNEUR REMISES À DES SOLDATS POUR LE MASSACRE
    DE WOUNDED KNEE (1890)
    PAR L’ÉQUIPE DU SITE WEB NATIVE NEWS ONLINE (9 NOVEMBRE
    2021)

    (TRADUIT DE L’ANGLAIS PAR ISMÈNE TOUSSAINT)

    Plus tôt ce mois-ci, 17 membres du Congrès ont adressé
    une lettre au président Joe Biden, le pressant d’user de
    son autorité pour retirer les médailles d’honneur qui
    furent données aux soldats ayant participé au massacre
    de Wounded Knee.
    Cette requête est l’oeuvre des sénateurs des États-Unis
    Elizabeth Warren (démocrate, Massachusets), Jeff

    Merkeley (idem, Oregon), Kaiali’i Kahele (idem,
    Hawaï), et de 14 autres législateurs.
    « Le 29 décembre 1890, des soldats de l’armée
    américaine abattirent sans pitié des centaines d’hommes,
    de femmes et d’enfants lakotas à Wounded Knee, sur la
    réserve indienne de Pine Ridge, dans le Dakota du Sud,
    écrivent-ils. Par la suite, cet événement devint célèbre
    sous le nom de « massacre de Wounded Knee. »
    Honneur militaire le plus élevé au pays, la médaille
    d’honneur est attribuée au nom du Congrès pour l’esprit
    de chevalerie qui surpasse l’appel du devoir. Depuis des
    décennies, les Autochtones américains veulent que ces
    médailles d’honneur soient retirées : leur sentiment est
    que les actes qui furent commis contre des hommes, des
    femmes et des enfants lakotas innocents, étaient tout sauf
    « chevaleresques ».
    « Plus de 130 ans se sont écoulés depuis le massacre de
    Wounded Knee et pourtant, les actions de l’armée
    américaine et l’octroi de 20 médailles d’honneur aux
    perpétrateurs de cette tuerie demeurent une honte
    persistante sur la nation, ajoutent les membres du
    Congrès. Pour les familles et les descendants de ceux qui
    furent exterminés, le retrait de ces 20 médailles
    d’honneur aurait un impact profond et durable – le choix
    du gouvernement fédéral ayant été de continuer à
    permettre qu’on accorde ces honneurs biaisés. Il est plus
    que temps d’enlever cette tache de l’histoire de notre
    nation et nous vous demandons de le faire. »
    Avant d’être élu président le 15 janvier 2020, l’ancien
    vice-président Joe Biden s’était engagé par le biais d’une
    déclaration écrite au Forum présidentiel autochtone

    américain des Quatre directions et des tribus du Nevada,
    à soutenir le retrait des médailles d’honneur qui avaient
    été distribuées pour le massacre de Wounded Knee.
    Il y rappelait ceci : « la médaille d’honneur du Congrès
    est la plus haute distinction de notre nation, elle
    récompense la chevalerie au combat, ainsi que la défense
    des idéaux et des principes les plus élevés de notre
    nation. Qu’elle ait été décernée pour le massacre de
    centaines d’Autochtones américains sans armes, dont des
    femmes et des enfants, est odieux pour ces idéaux vrais,
    et rabaisse ce que cette distinction représente d’intégrité
    et de sacrifice personnel pour tous ceux qui l’ont reçue. »
    En septembre 2021, la Chambre des représentants a inclu
    un amendement dans la loi d’Autorisation de la Défense
    nationale (Defense Authorization Act) pour l’année
    fiscale 2022, découlant de la loi relative à l’Enlèvement
    de la tache (Remove the Stain Act ; HR 2226), qui
    demande le retrait des médailles d’honneur.
    Article paru dans le site Web Native News Online, November,
    9 th , 2021, Pressure Mounts on President Biden to Revoke the
    Medals of Honor for the Wounded Knee Massacre | Currents
    (nativenewsonline.net)

     

     

     


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  • Perlage amérindien.  Les perles amérindiennes sont organisées en coquillages pour se préparer au perlage photos stock

    Voici un tuto qui pourrait vous aider pour votre artisanat 

     paleoplanet beadwork-tutorial

     

     

    avec cette petite pub pour ce livre technique que l'on trouve sur Amazone 

    ► amazon.fr/Beadwork-Techniques-Native-Americans-Sutton

     

     

     


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  • Dakota du Sud, la terre sacrée des Amérindiens - Invitation au voyage - Regarder le documentaire complet | ARTE

    ARTE.TV
    Dakota du Sud, la terre sacrée des Amérindiens - Invitation au voyage - Regarder le documentaire complet | ARTE
    Dans le nord des États-Unis, de gigantesques plaines s’étendent 

     

     arte.tv/fr dakota-du-sud-la-terre-sacree-des-amerindiens

     

     

     


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  • Qu'est-ce que Rock Your Mocs ?
    Créé en 2011, Rock Your Mocs est un événement mondial de médias sociaux virtuels pour les Amérindiens et les peuples autochtones organisé chaque année et pendant le Mois national du patrimoine amérindien aux États-Unis. Portez vos mocassins, prenez une photo/vidéo/histoire, ajoutez le hashtag #RockYourMocs et téléchargez aux médias sociaux.
    Rock Your Mocs a été fondée en 2011 par Jessica Jaylyn Atsye (Laguna Pueblo, NM U.S.A.) et début 2013 a été annuellement organisé et produit par la productrice d'événements amérindiens Melissa Sanchez (Acoma/Laguna Pueblos NM U.S.A.) de productions émergentes

    Suivez-nous sur Facebook facebook.com/RockYourMocs, Instagram et Twitter
    Site Web : rockyourmocs.org
    art graphique par :
    Cartes de vœux et de Noël Emergence
    Crédit photo : IG - Singing In the Timber

     

     

     


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  •  Au Kursaal de Besançon

     

     

     


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