• Pow Wow International De Wendake

    Début de l'événement : 17 Septembre 
    et se termine le 19 Septembre

    sur facebook ► powwowwendake

    Bonjour Québec  bonjour Quebec pow-wow-international-de-Wendake 

     

     


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  • L'hôtel-musée Premières Nations prépare tout un programme pour sa réouverture au mois d'avril. Reportage de Tifa Bourjouane.

     


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  • Two men seen removing red dresses hanging on trees along Vancouver Island Highway (VIDEO)
     
     
    VICTORIABUZZ.COM
    Two men seen removing red dresses hanging on trees along Vancouver Island Highway (VIDEO)
    Video has emerged of two men seen removing red dresses, a sym
     
    l'article et la vidéo ici ► victoriabuzz.com
     
     
     
     

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  •  Voilà je tenais à vous partager ce message , pour vous montrer ce que les Premières Nations subissent encore à notre époque. Ca me révolte ,comment des enfants peuvent ils se sentir bien dans leur peau en étant confronté à ce genre de situation ?

    Je sais que c'est pas toujours facile, mais il ne faut pas faire attention à ces idioties .La roue tourne ...

    Soyez fiers de vos origines 

    Peut être une image de 1 personne, position debout et plein air

    Petite tranche de vie !! Hier, ma fille

    Amelia Deschenes Washish

    rentre de l'école en pleurs! Pourquoi!? Parce qu'elle avait un trop plein...une écœurant ite aiguë d'entendre des paroles d'enfants dire...se moquer d'elle...de se faire rabaisser...se faire traiter de noms...se faire intimider...parce qu'elle porte mon nom de Famille.. WASHISH!!! 7 jeunes sur 25 de sa classe qui la fait vivre des émotions fortes de ce genre!! 7 jeunes donc 14 parents...qui ont sûrement un jour dit quelque chose sur les Premières Nations à la maison ou les grands- parents de ses jeunes ...allez savoir où ses jeunes ont appris à agir contre les Premières Nations !!! Pourquoi je dis 14 parents...parce que je ne crois pas que ces 7 jeunes ont appris cela à l'école...que portait le nom de Washish est synonyme de laideur...de pas bonne...une moins que rien...etc. Parce que l'éducation commence à la maison aussi!! ! Pourtant...ces 7 jeunes auraient pu se moquer d'elle à cause qu'elle porte le nom de Deschênes...car ça désigne un arbre!! Ben non...aucune intimidation sur son nom de famille québécoise DESCHÊNES mais bien qu'elle se nomme WASHISH...un nom de famille des Premières Nations! Pourtant, le sirop d'érable que tu manges a été fabriqué par les Premières Nations bien avant Jacques Cartier débarque ici...et que les Colons se sont accaparés pour faire profit...il y en a des exemples où on peut dire...une chance que les Premières Nations été ou sont encore là !!! Oui, l'école va régler ce problème...mais je trouve la solution n'est pas à l'école...mais bien dans chaque foyer du Québec où le RACISME existe...dans les livres D'HISTOIRE que l'Éducation prône où l'histoire des Premières Nations ne tient qu'à 2 pages des manuels d'histoire...il faut que ça CHANGE vraiment !! Et ce n'est pas VRAI que je vais me taire et m'abstenir de ne pas le dire sur les réseaux sociaux!! Ma fille Amé vit du RACISME dans un milieu où elle devrait se sentir en sécurité ! Oui ...il y a du RACISME au Québec en 2021! Et je continuerai d'éduquer ma fille dans les valeurs ancestrales que j'ai reçu et d'être fière d'être une Première Nation...d'être une Innue!!!

     

     

     


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  • Nos racines, notre identité: coup d’envoi de la 6e Semaine autochtone Mitig

     

    Du 15 au 20 mars, l’Université de Montréal célèbre les cultures autochtones et sensibilise sa communauté aux réalités des Premiers Peuples.

    Racisme systémique, cuisine, art, itinérance: de nombreux sujets seront abordés à cette 6e Semaine autochtone Mitig. Créé en 2015, cet évènement permet de mettre en lumière le patrimoine, les cultures et les savoirs des communautés autochtones, en plus d’amorcer la discussion sur des enjeux relatifs aux Premières Nations et de nouer des liens avec la population étudiante.

    suite de l'article sur la page ► nouvelles.umontreal 

     

     

     


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    Les organisateurs du spectacle-bénéfice Waskapitan ont fait le bilan lundi. 100 000 $ ont été récoltés et 30 000 personnes ont assisté au concert en ligne.
     
    Waskapitan, le concert-bénéfice en hommage à Joyce Echaquan a récolté 100 000 $
     
    ICI.RADIO-CANADA.CA
    Waskapitan, le concert-bénéfice en hommage à Joyce Echaquan a récolté 100 000 $
     
     voici le lien pour voir l'article ▼
     
     
     
     

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    Une œuvre de glace que ne pouvais que vous faire découvrir .La réalisation est superbe et approfondie dans les moindre détails et réalisé pour le carnaval d'hiver de Saint Paul.

    (merci pour l'autorisation d'afficher cette photo sur mon blog )

    La description:

    L'équipe Kwe est unique; nous sommes un groupe de trois femmes ayant toutes un héritage autochtone et des liens étroits avec notre communauté. Comme c'est notre première année à travailler ensemble, nous voulions créer une pièce qui soit belle et qui ait du sens. Ensemble, nous avons décidé de tirer parti de la force de Maggie en tant qu'artiste textile et de créer une œuvre sur la toujours importante «Jingle Dress» de notre culture . Historiquement, la robe Jingle a été créée lors de la pandémie de grippe de 1918 pour aider à guérir ceux qui étaient malades

    Équipe Kwe: Heather Friedli (St. Paul), Maggie Thompson (St. Paul) et Juliana Welter (Minneapolis) L'équipe Kwe est un groupe de 3 femmes artistes, chacune ayant des liens avec la communauté Anishinaabe

    suite de la description ici ainsi que pour voter pour elles car je pense quelles le méritent amplement voicehive.com/v2/page/Sculpture

    et d'autres photos sur la page facebook   facebook.com/friedliarts

     et voilà le travail ▼

     Peut être une image de plein air et texte

    Elles ont obtenu la 1ère place ... félicitation 

     

     


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  • Vague de soutien à une fillette critiquée pour sa jupe traditionnelle à son école

    En Saskatchewan, Isabella Kulak a subi les commentaires désobligeants d'un assistant scolaire au sujet de sa jupe à rubans portée lors d'une journée festive, en décembre.

    Isabella Kulak dans la neige, le poing levé.

    Isabella Kulak porte fièrement la jupe à rubans que sa tante lui a confectionnée.

    PHOTO : FACEBOOK / JUDY PELLY

    suite de l'article sur Radio Canada espace Autochtone

      ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones

     

     


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  • Pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire des pensionnats Autochtones , voici cette terrifiante mise en œuvre ...

    Tuer l’Indien dans l’enfant : les pensionnats autochtones et le rôle de John A. Macdonald

    Affiche par Sean Carleton et texte par Crystal Gail Fraser.

    Traduction par Laure Henri

     
    On a souvent célébré John A. Macdonald (1815-1891) pour son rôle en tant que l’un des « Pères de la Confédération » au Canada. Élu premier ministre à deux reprises (1867-1873 et 1878-1891), Macdonald a fait face à d’importants obstacles dans son entreprise d’édification du nouveau Dominion du Canada. La création d’une nation était une lourde tâche et Macdonald y a joué un rôle déterminant sur plusieurs plans, que ce soit dans la négociation de l’entrée des nouvelles provinces dans la Confédération, la construction du réseau ferroviaire, la domestication de l’Ouest « sauvage » ou encore l’encadrement de projets d’immigration de très grande envergure. Il est toutefois moins reconnu qu’en tant que premier ministre, Macdonald a également agi à titre de surintendant général des Affaires indiennes. Il a donc participé de manière active à la mise en œuvre d’un système destructeur qui avait pour objectif de « tuer l’Indien dans l’enfant », soit le système de pensionnats indiens. Cette affiche permet de souligner le double rôle joué par Macdonald, qui a été à la fois bâtisseur d’une nation et architecte d’un génocide commis contre les peuples autochtones.
     
    Dans le cadre d’un vaste et continuel projet de colonisation de l’Ouest canadien, les immigrants (es) des années 1870, qui sont devenu·e·s certain·e·s des premiers colons canadiens, ont graduellement dépossédé les peuples autochtones de leurs terres ancestrales. Malgré le fait que des législations adoptées par le gouvernement canadien (telle que la loi sur les Indiens de 1876) avaient déjà permis d’altérer les systèmes de gouvernance des Autochtones, d’accroître le pouvoir qu’exerçait le gouvernement sur leurs réserves et de démanteler et de criminaliser leurs pratiques culturelles, Macdonald souhaitait intensifier l’ingérence du gouvernement dans les vies de ces peuples afin d’accélérer la colonisation. Pour ce faire, il somme son ami Nicholas Flood Davin d’enquêter sur le succès des programmes d’assimilation aux États-Unis, et particulièrement sur le recours à des pensionnats pour les enfants autochtones. Davin est très impressionné par les politiques américaines d’« assimilation agressive » que permettaient ces pensionnats, ce qui l’amène à déposer en 1879 le Report on Industrial Schools for Indians and Half-Breeds, aussi connu sous le nom de Rapport Davin. Au début des années 1880, suivant la recommandation formulée par Davin, Macdonald entreprend donc de mettre sur pied des pensionnats autochtones afin d’aider à l’éradication du soi-disant « problème indien » du Canada. En 1883, tandis que les premières écoles étaient inaugurées sur les territoires de ce qu’on nomme aujourd’hui l’Alberta et la Saskatchewan, Macdonald défendait son projet à la Chambre des communes :
     
    " Lorsque l’école se trouve sur une réserve, l’enfant vit avec ses parents, qui sont des sauvages; il est entouré de sauvages, et bien qu’il puisse apprendre à lire et à écrire, ses habitudes, son développement et sa manière de penser restent indiens. Il est, simplement, un sauvage qui sait lire et écrire. On m’a fortement recommandé, en tant que chef de ce département, de préserver le plus possible les enfants indiens de l’influence parentale, et la seule façon d’y arriver serait de les envoyer dans des écoles de formation industrielles et centralisées, dans lesquelles ils pourront acquérir les habitudes et les modes de pensées des hommes blancs. "

    Le démantèlement des familles autochtones par la séparation forcée était au cœur du programme de Macdonald. Le fait de retirer les enfants de leurs communautés permettait de rompre efficacement les liens qui les unissaient à leurs terres ancestrales, et ceci était fait dans l’espoir que les pensionnats encourageraient l’assimilation des enfants et les prépareraient à contribuer à la société capitaliste et colonisatrice qui était en train de se mettre en place au Canada. En somme, le premier premier ministre du Canada a instauré, soutenu et défendu le système génocidaire canadien des pensionnats indiens.

    Alors qu’en 2017, les Canadiens et Canadiennes célébraient cent cinquante ans de colonialisme en terre autochtone, il est important de se rappeler que la mise sur pied des pensionnats n’était pas plus une erreur qu’un acte d’exception. En vigueur de 1883 à 1996, le système des pensionnats indiens était une attaque méticuleusement orchestrée contre le mode de vie des peuples autochtones, un système qui a bénéficié du soutien de l’une des figures les plus célébrées au Canada : John A. Macdonald.

    Biographies

    Sean Carleton est activiste, artiste et éducateur. Il habite à Calgary en Alberta, sur le territoire du Traité no 7.

    Crystal Gail Fraser est une femme issue de la communauté Gwichya Gwich’in et doctorante au Département d’histoire et d’études classiques de l’Université de l’Alberta, qui se situe sur le territoire du Traité no 6. Ses recherches doctorales portent sur les manières par lesquelles les peuples autochtones ont répondu aux problèmes posés par les pensionnats autochtones dans les Territoires du Nord-Ouest au cours des décennies de l’après-guerre.

    Et puis je vous rajoute le lien de Radio Canada qui dans son article de 2018 ,parle d'un film qui relate ces pensionnats 

    Cheval Indien, le film que « tout Canadien devrait voir »

    radio-canada.ca cheval-indien-film-pensionnats-autochtones

     

     

     


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  • voici une partie de l'article paru dans

    les Mi'kmaw ne sont pas en conflit ni en guerre.

     

    World Indigenous News

     

    Cliquez sur les liens soulignés en bleus pour d'autres infos

    Le 17 septembre, la Première nation de Sipekne'katik a lancé une pêche autoréglementée , affirmant son droit inhérent et constitutionnel à le faire. Dans les jours et les semaines qui ont suivi, des foules de pêcheurs non autochtones ont commencé à enlever les pièges appartenant aux Mi'kmaw et à harceler les Mi'kmaw.

    Un véhicule a été incendié, des masses de homard détruites et une fourrière de homard incendiée. Des images ont été prises par des pêcheurs mi'kmaw et la communauté et partagées en ligne. Les images choquantes se sont rapidement propagées à travers le pays. 

    Candis Callison, qui est Tahltan, est professeur agrégé à la School of Journalism, Writing and Media et à l'Institute for Critical Indigenous Studies de l'UBC, a déclaré que la couverture médiatique traditionnelle manquait de contexte.

    l'article en entier ici  indiginews.com/okanagan/media

     

     

     


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