• john

     JOHN TRUDELL + PURA FE    

        SAMEDI 28 JANVIER A 20H230   

       CONCERT - BLUES 

    LA SIRENE - Espace Musiques Actuelles
    111 bld Emile Delmas/La Pallice 17000 LA ROCHELLE -FRANCE 
    lien   -->concert 
    pura fe
     

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  • img_0254
    je vous présente mes meilleurs voeux à toutes et à tous pour 2012.
    En premier plan sur cette photo ,une déco que j'ai trouvé ce matin posée sur l'herbe ,sur un chemin que je n'avais jamais pris,à ma grande surprise elle représente  les Natives accueillant les Caravelles de Christophe Colomb avec des présents. Curiosité du hasard quand même....étrange ????

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  • je suis heureux de vous présenter les photos de la fête de Noël à Kyle dans l'école maternelle que nous aidons.L'argent récolté a permis d'offrir des jouets pour les enfants.

     
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    Merci Claudine de nous avoir envoyé ces photos .Et puis surtout à tous les donateurs qui ont participé (pour ma part je remercie mes collègues de travail qui ont fait le geste et c'est une bonne leçon de vie ,car le monde Amérindien leur est inconnu ,alors que parmi tous les gens qui admirent ces superbes Nations ,pas beaucoup et même trop peu s'investissent même pour envoyer 1 ou 2 € .....imaginez environ 300 personnes passent sur mon blog chaque jour ,si la moitié m'envoie 1€ et bien nous aurons une belle somme à leur faire parvenir. Enfin c'est vous qui voyez......)
     
     
     
     

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  • Une bien mauvaise nouvelle pour terminer l'année ,le Pow Wow d'Ornans prévu en 2012 est annulé pour cause de crise . Cette décision a été confirmé par Mr Christian Larqué  président de l'association 4 winds.

    ornans

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  • CONSIDÉRATIONS SUR LE « PLAN NORD » DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC

    PAR STUART MYIOW JR, PORTE-PAROLE DU CONSEIL TRADITIONNEL MOHAWK

    Le 28 novembre 2011

    Le peuple Mohawk demeure uni avec ses frères et sœurs des Nations Innu et Inuit pour défendre notre Mère Terre contre les agressions du gouvernement du Québec par l'entremise de son «Plan Nord». Cette entreprise va causer une destruction encore plus grande des terres, des lacs, des rivières, des peuples et de toutes les formes de vies dans les territoires concernés, dont celle des gens qui se sont auto-proclamés «peuple québécois».

    Le peuple québécois n’aura pas les assises nécessaires pour se séparer de la Couronne Impériale britannique, via le Canada, tant et aussi longtemps qu’il continuera de se comporter de manière sous-humaine et irrespectueuse vis-à-vis de notre Mère Terre, tout comme le reste de ce monde insensé que l’impérialisme a engendré.

    Partout sur la planète s'organise la résistance aux régimes en place, qui sont dysfonctionnels depuis des millénaires car fondés sur le principe dominateur masculin qui opprime, viole et assassine les femmes, et par le fait même, ravage notre Mère Terre.

    Cette destruction a mené à l'effritement de la calotte glaciaire arctique, à la fonte du pergélisol, à l’extinction imminente de l’ours polaire etc., sans oublier le vol forcé de l’identité de tous les peuples du Nord, qu'elle oblige systématiquement à se joindre à ces agissements par le biais de régimes de facto, les «conseils de bandes élus», qui sont le produit de l’Acte des Indiens (Indian Act) imposé par les Britanniques. Ces «conseils de bandes élus» ont conclu des marchés illégaux avec le gouvernement du Québec pour le «Plan Nord», cela, par avidité et corruption, et d’une manière qui ne représente nullement l’Esprit véritable de leur peuple.

    Puisque nous sommes conscients de la détérioration, par la société non-Autochtone, du délicat écosystème de notre Mère Terre et de cette terre qui forme le Grand Nord, il serait absolument aberrant de commettre davantage de dégats, cela, uniquement à cause de la complaisance d'Autochtones peu scrupuleux et de l'accessibilité récente à cette région, résultante de la hausse de température que nous avons provoquée. Cette conduite inhumaine aura des conséquences dévastatrices sur le monde : tous les habitants de la planète en souffriront.

    Nous faisons donc appel à tous les peuples de la Terre pour qu'ils se battent pour leur humanité, qu'ils agissent de nouveau en êtres humains, et qu'ils mettent fin à la folie du «Plan Nord» du gouvernement du Québec, ainsi qu'à toutes les autres attaques gouvernementales perpétrées contre le Grand Nord, car elles tueront assûrément notre Mère Terre.

    Ne vous laissez pas leurrer par les campagnes honteuses et mensongères orchestrées par des compagnies telles que Coca-Cola, qui prétendent défendre les ours polaires alors que leurs menées corporativistes à travers le monde participent à leur extinction.

    Nous faisons appel à votre humanité : résistez à l’oppression et combattez la destruction ! Arrêtez le «Plan Nord» du Québec !

    Dans la paix et l'amitié

    Stuart Myiow, secrétaire
    Conseil Traditionnel Mohawk
    Box 531 Kahnawake
    Territoire Mohawk
    J0L 1B0

     

    mohawk

    Courriel : longhouse@mohawktraditionalcouncil.org
    Site Web :
    http://www.mohawktraditionalcouncil.org  <-- l'adresse du site ne répond plus 

    (Traduit de l'anglais par Yvan Bombardier, La Famille - Révision : Ismène Toussaint) 


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  • Venez partager d'authentiques traditions Autochtones samedi 12 novembre 2011, de 15h à 18h, au Refuge du Conseil Traditionnel Métis Onkwehshon:'A, 115 Rang Massé Ouest, à Saint-Gabriel-de-Rimouski (Bas-Saint-Laurent, Québec).

    Arrivée des invités à 15h ; souper potluk à 17h (chacun apporte de la nourriture à partager) ; Cérémonie traditionnelle de la Pleine-Lune à 19h ; chants, danses autochtones et improvisation musicale à partir de 21h. Apportez vos instruments de musique. Cet événement familial est non fumeur (à l'intérieur). Bienvenue à tous ! 

    Stéphane Roy et Annick Ouellet, cofondateurs du Conseil Traditionnel Métis Onkwehshon:'A 

    conseil traditionnel métis

    ONKWEHSHON:'A METIS TRADITIONAL COUNCIL - FULL MOON CEREMONY

     

    Time:
    Saturday, November 12, 2011 · 3:00pm - 6:00pm
     
    Location:
    Refuge du Conseil Onkwehshon:'a Council Refuge
    115 rang Massé Ouest
    St-Gabriel-de-Rimouski, Quebec
     
    Program: 
     
     
     
    3:00pm
    Arrival of the guests

    5:00pm
    "Potluck" Dinner (everyone brings food to share)

    7:00pm
    Traditional Full Moon Ceremony

    9h00:pm
    Native songs and dances, music jam

    Bring some food for the potluck and your music gear for the jam.

    Family event: NO SMOKING INSIDE

    Welcome everyone !
     
    Stéphane Roy and Annick Ouellette, cofounders of the Onkwehshon:'A Metis Traditional Council

     

    © Stéphane Roy et Annick Ouellet, Conseil Traditionnel Métis Onkwehshon:'A  

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  • A savoir sur le site leboncoin.fr de nombreuses annonces d'objets,de livres,d'artisanat concernant les Indiens d'Amérique.voici 2 annonces en exemple .

    l'art des indiens d'amerique du nord

    voir sur le site --> le bon coin 

    baton de parole

    Sur le site -->Le bon coin 

    Voilà ,et il y en a beaucoup d'autres, perches pour tipis ,tipis etc....à fouiller dans les pages.

    merci Heyoka de m'avoir fait découvrir ce site.Je le partage.


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  • navajoland

     

     

    family tradition navajo
    tissage dans une famille Navajo
     
    Les Navajos (ou Navahos) constituent un peuple Amérindien d'Amérique du Nord de la famille linguistique athapascane  et de la zone culturelle du sud-ouest. Les Navajos vivent aux Etats Unis, dans des réserves du nord-est de l'Arizona et des régions contiguës du Nouveau Mexique et de l'Utah Ils sont étroitement apparentés aux  Apaches (cliquez sur le lien en rouge )
     
    navajo  
     
    navajo carte
     
      marche Navajo   Ce jour-là: En 1864, près de 800 Navajos ont commencé la longue marche  "The Long Walk" de leurs terres traditionnelles à Fort Sumner et la réserve de Bosque Redondo, dans le sud du Nouveau-Mexique. Sur le chemin, une grosse tempête de neige les a surpris . Parce que les Navajos avait été contraint de quitter une grande partie de leurs biens, ils étaient mal équipés pour le froid et la neige. Plus de 110 femmes, les enfants et les aînés sont morts au moment avant d'avoir atteint Fort Sumner. Entre 1864 et 1866, quelque 53 différentes marches forcées ont eu lieu dans une tentative de nettoyage ethnique du peuple Navajo par le gouvernement américain. C'est une photo des Navajos en garde à Fort Sumner en 1864.
     
      the song of the horse      

    Navajos

    réduction du territoire Navajo au fil du temps 

     

     


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  • Voici un autre peintre découvert au hasard,certaines de ses œuvres se promènent sur internet et j'en avais enregistré quelques unes ,mais difficile d'y mettre un nom quand on n'a pas d'indice ,c'est chose faite.

    Robert Griffing. 

    Il vient de Pennsylvanie et a travaillé pendant 30 ans dans la publicité . Diplômé de l'art Institute de Pittsburgh .Mais son intérêt pour les Premières Nation est grande et il décide de mettre sa passion pour ces peuples, en peinture.  ( pour plus d'information allez sur le lien en bas de l'article )

    Voici quelques unes de ses peintures à l'huile sur toile  des Amérindiens des bois

    après le troc

    After the trade -- Après le troc

    robert griffing2

    Advocate for Peace  

    robert griffing3

     The Delicate Balance of Honesty  

    robert griffing5

    THE WARRIORS CACHE

    Lien du site officiel --> Robert Griffing

    robert griffing7

     Cherokee

    robert griffing artist

    " Into the Unknown "

     


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  • map
     
    Une grande partie des Nations Amérindiennes d'Amérique du Nord sont notées sur cette carte
     
    canada_first_nations_map
     
    Premières Nations du Canada
     
       
     

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    jean_jolicoeur_120x190

     

    COPRÉSIDENCE DES AUTOCHTONES MÉTIS DE LA NATION QUÉBÉCOISE 

     

    11 JUIN 2009 : JEAN JOLICŒUR DÉNONCE LA VIOLATION DES DROITS DES MÉTIS ET DES INDIENS HORS-RÉSERVES  PAR LES GOUVERNEMENTS LORS D’UNE CONFÉRENCE D’ISMÈNE TOUSSAINT PRONONCÉE SUR GABRIEL DUMONT À LA SOCIÉTÉ SAINT-JEAN-BAPTISTE DE MONTRÉAL.

    GABRIEL DUMONT SOUS TOUS SES ANGLES

    Le 11 mai 2009, lors du lancement de son ouvrage, Gabriel Dumont, Souvenirs de résistance d’un immortel de l’Ouest (écrit en collaboration avec Denis Combet, Éditions Cornac), à la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM), l’auteure Ismène Toussaint annonçait la renaissance et la consolidation de l’Union métisse Est-Ouest, un mouvement qu’elle avait cofondé le 8 mai 2005 pour permettre aux Métis des Provinces Maritimes, du Québec et du Manitoba de se retrouver après cent-vingt ans de séparation. Le 18 mai suivant, appuyés par des Métis de la SSJBM, des associations nationalistes et du gouvernement du Québec, Gilles Rhéaume, président de l'Union, Jean Jolicœur, chef de l’Alliance Autochtone du Québec (AAQ, 30 000 membres Premières Nations, Métis et Inuits Métis hors-réserves), et elle-même faisaient reconnaître la Nation métisse par la Nation québécoise devant plus de 400 représentants de l’élite du pays réunis lors de la Soirée des Patriotes, à Montréal : une action qui valait à ces deux derniers d’être nommés Coprésidents des Autochtones Métis de la Nation québécoise (CAMNQ).

    Le 11 juin 2009, l’écrivaine était invitée par Jean-Pierre Durand, Métis et vice-président de la SSJBM, à prononcer une conférence dans le cadre de cet organisme : « Après cent-vingt ans, Gabriel Dumont revient au Québec ». Après avoir dévoilé un tableau de Guéganne, la plus grande artiste métisse Micmaque des Provinces Maritimes, intitulé La Cause métisse, et rendu hommage aux cofondateurs de l’Union métisse Est-Ouest dans cette région, Ismène Toussaint a expliqué la signification de quelques symboles et objets. Puis elle a retracé les faits les plus saillants de la vie de l’ancien chef métis de l’Ouest : sa naissance, en 1837, à Saint-Boniface (colonie de la rivière Rouge, futur Manitoba) ; sa participation, alors qu’il n’était encore qu’un adolescent, à la bataille de Grand-Coteau contre les Sioux (Missouri, 1851) ; ses activités de capitaine de chasse aux bisons ; son soutien indéfectible à Louis Riel dans sa lutte contre les spoliateurs canadiens-anglais des terres autochtones ; son mandat de premier président des Territoires du Nord-Ouest à Saint-Laurent (Saskatchewan, 1873-1878) ; son organisation du soulèvement métis dans cette région, mené avec maestria contre l’armée canadienne mais qui se solda par l’écrasante défaite de Batoche (12 mai 1885) et par son exil aux États-Unis ; l’accueil triomphal remporté par sa tournée de conférences au Québec, en 1888 ; la rédaction de ses souvenirs (1888 et début des années 1900), qui ne seraient révélés au public qu’en 2009 ; et son retrait dans l’ombre jusqu’à sa mort, survenue en 1906 en Saskatchewan.

    L’auteure a enchaîné avec un bref portrait de la cause métisse contemporaine, dont elle poursuit la défense avec plusieurs leaders dans la lignée de Louis Riel et de Gabriel Dumont, puis achevé son exposé par une adresse à Jean Jolicœur sur la définition de « Sauvages Blancs » – ces premiers Européens ayant embrassé le mode de vie autochtone et qui devaient fonder le peuple métis –, elle-même étant une Française adoptée plusieurs fois « Métisse ».

    L’invité d’honneur de cette causerie était Denis Riel, arrière-petit-cousin de Louis Riel et homme d’affaires, qui n’hésita pas à prendre fait et cause pour son illustre aïeul tout en évoquant son engagement récent dans le mouvement métis. 

    LE COUP DE MAÎTRE DE JEAN JOLICŒUR : UNE DEMANDE DE RECONNAISSANCE COLLECTIVE DES MÉTIS ET DES INDIENS HORS-RÉSERVES

    Mais ce fut Jean Jolicœur, un Algonquin justifiant d’une solide ascendance métisse (2), qui créa la surprise de la soirée par sa présentation d’un rapport historique et juridique de fraîche date démontrant que « les Autochtones hors-réserves ont les mêmes droits que ceux des réserves », seuls bénéficiaires jusqu’à présent des ententes conclues avec les gouvernements et des avantages financiers concédés par ces derniers. Initiée par l’AAQ et par neuf de ses membres actuellement poursuivis pour infraction à la Loi sur la Conservation et la mise en valeur de la faune et à la Loi sur les Pêches, cette requête pour jugement déclaratoire intitulée « Alliance Autochtone du Québec et Nicolas Schattler et Richard Schattler et Churchill Boland et Jules Saint-Gelais et Christian Tremblay et Henrico Lapointe et Jimmy Tremblay et David Béchamp et Rhéal Paul, requérants, c. Le procureur général du Québec pour et au nom du Ministre des Ressources naturelles et de la Faune du Québec et du Ministre délégué aux Affaires autochtones du Québec et Le procureur général du Canada pour et au nom du Ministre des Pêches et Océans du Canada et du Ministre des Affaires indiennes et du Nord canadien et interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non-inscrits, intimés, et Assemblée nationale du Québec à l’intention de M. Vallières, ès qualités de président, mis en cause » (3) a été soumise à la Cour Supérieure du Québec afin qu’elle répare les injustices qui frappent les pratiques de chasse et de pêche de subsistance inhérentes à la culture autochtone, et redonne au peuple ignoré « toutes les opportunités et toute la dignité auxquelles il est en droit de s’attendre de la part d’un état démocratique. »

    Avec passion et conviction, Jean Jolicœur a passé en revue les principaux aspects de ce document. Il a tout d’abord rappelé que selon le rapport de la Commission royale sur les Peuples Autochtones de 1996, les Indiens étaient jadis « organisés en sociétés et occupaient les territoires comme leurs ancêtres le faisaient depuis des siècles », mais qu’aux liens fraternels tissés par les Européens avec ceux-ci, s’était substituée, à partir de la fin du XVIIIe siècle, une politique coloniale aux visées agriculturistes, commerciales et industrielles qui avait progressivement entraîné leur déracinement, leur acculturation et leur assimilation à la société blanche. En 1850, la Loi sur les Indiens, en contraignant ces derniers à s’établir dans des réserves, provoqua notamment la perte de leur pouvoir décisionnel, de leur autonomie financière, ainsi que celle du statut autochtone pour les femmes mariées à des non-Indiens et pour leurs descendants (4). Elle sécréta également un pernicieux clivage entre les Indiens des réserves et ceux qui refusèrent d’y entrer ou qui furent oubliés ou exclus des registres d’inscription, aussi bien qu’une négation inique des Métis, condamnant désormais ces peuples à vivre dans la marginalité, l’indigence et l’isolement. 

    Suite de cet article sur --> Ismène Toussaint 


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  • Cinéma des Premières Nations

    Le Wapikoni mobile, studio ambulant de formation et de création audiovisuelles et musicales, circule depuis cinq ans dans les communautés des Premières Nations du Québec. Cette organisation unique en son genre donne aux jeunes autochtones l'occasion de s'exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Tout en encourageant l'émergence des talents, il facilite les échanges et la communication entre les jeunes et contribue à leur ouverture sur le monde. Il leur donne l'occasion de se faire connaître, de sortir de leur cadre de vie habituel et de rayonner autant dans leur milieu que dans le monde.
    suite sur la page facebook --> Wapikoni facebook 
    Wapikoni fac

     Le lien du site -->  Wapikoni 

    don-wapikoni

    pour faire un don -->Don pour Wapikoni 

    Le studio ambulant Wapikoni mobile, qui

    s'est vu annuler une subvention de 490 000 $ du ministère des Ressources humaines, a reçu l'appui du grand chef du Grand conseil des Cris, Matthew Coon Come.

    Dans une lettre envoyée le 19 juillet à la ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences Canada, le grand chef demande à Diane Finley d'intervenir auprès de Service Canada pour infirmer sa décision.

    Il plaide pour que le Wapikoni puisse poursuivre ses activités cette année comme prévu, en attendant de trouver des solutions pour l'an prochain.

    M. Coon Come souligne que le Wapikoni mobile a su approcher une partie de la population dans les communautés des Premières Nations à laquelle les organisations institutionnelles ont peu accès, à savoir les décrocheurs scolaires, les sans-emploi et les jeunes qui présentent un haut risque de décrochage.

    Selon lui, le Wapikoni « les encourage à dépasser leurs problèmes et à se surpasser, à exprimer leurs inquiétudes, et donc à acquérir les compétences essentielles pour intégrer le marché du travail et affronter les défis. »

    Comme nous le savons tous, ce type d'intervention ne peut fonctionner que sur du long terme, de manière continue et soutenue. Au moment où les retombées positives du Wapikoni mobile sont avérées et alors que les histoires à succès de ses participants se multiplient, il est crucial que cette organisation poursuive ses activités.

    — Matthew Coon Come, dans une lettre adressée à la ministre Diane Finley

    Rejointe par Radio-Canada.ca, la fondatrice et directrice générale du Wapikoni mobile, la cinéaste Manon Barbeau, a aussi indiqué que l'organisme à but non lucratif avait reçu un « appui massif » des Autochtones d'Amérique latine.

    Le président de la Presse internationale indigène souhaite adresser une lettre à toutes les communautés autochtones du monde ainsi qu'aux organismes qui les défendent, afin de faire pression sur le gouvernement canadien.

    Une pétition serait même en cours de préparation.

    Depuis l'annulation de la subvention de Service Canada, le Wapikoni a reçu le soutien de chefs des Premières Nations, de députés, de partenaires canadiens et étrangers et du public.

    La page SOS Wapikoni créée sur Facebook compte notamment près de 2000 abonnés, en quatre jours d'existence.

    L'organisation espère que la mobilisation sociale convaincra la ministre Finley de l'ampleur et de la nécessité des interventions du Wapikoni dans les communautés des Premières Nations, à titre de projet de société.

    Le Wapikoni mobile parcourt plus d'une douzaine de communautés autochtones du Québec pour y encourager la créativité audiovisuelle et musicale chez les jeunes. Depuis 2004, près de 2000 jeunes autochtones ont réalisé 450 vidéos et courts métrages.

    La présence du Wapikoni mobile chez les Cris a commencé en 2007, à Oujé-Bougoumou, s'élargissant à la communauté de Mistissini en 2010. Le projet comptait s'étendre, cette année, à la communauté crie de Chisasibi.( vu sur Radio Canada.ca)
    aa)((  

    La fondatrice et directrice générale du Wapikoni mobile, la cinéaste Manon Barbeau, demande à la ministre fédérale Diane Finley de revenir sur sa décision d'annuler une importante subvention. Le Wapikoni mobile devra réduire ses activités après la perte d...'une subvention de 490 000 $ du ministère des Ressources humaines et du Développement des compétences, une nouvelle dont l'organisme aurait eu connaissance il y a près de trois semaines. Le studio ambulant parcourt plus d'une douzaine de communautés autochtones du Québec pour y encourager la créativité audiovisuelle et musicale chez les jeunes. « C'est une bouée, une bouffée d'oxygène [pour les jeunes]. On a une responsabilité morale envers eux, on a créé des besoins et ils nous attendent », a-t-elle souligné en entrevue à RDI. Elle a expliqué que « les visages se défont » lorsque les jeunes apprennent la nouvelle, étant donné qu'il y a peu d'activités dans les communautés où ils vivent. « Ça les motive à se réinscrire à l'école », soutient-elle 
    version Anglaise
     The founder and general director of the Wapikoni Mobile, film maker Manon Barbeau, is peitioning the Federal Minister Diane Finley to review and revoke her decision to annul an important subsidy. The Wapikoni Mobile will have to reduce its activities ensuing the loss of a 490 000$ subsidy from the Minister of Human Resources and Skills Development, news of which reached the organization some three weeks ago. The mobile studio visits close to a dozen First Nations communities in Québec so as to encourage audiovisual and musical creativity among the youth. She emphasized in an interview with Radio-Canada that « It’s a buoy, a breath of fresh air [for the youth]. We have a moral responsibility towrds them, we have created needs and they are waiting for us». She explained that « faces break up » when the youth learn of the news, given that there are few activities in the communities where they live. « It motivates them to go back to school » she maintains.  

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  • LA CORPORATION PÉTROLIÈRE ENBRIDGE GATEWAY REFUSE L'ACCÈS DE SON BUREAU À TA'KAIYA BLANEY, 10 ANS, MEMBRE DE LA NATION SLIAMMON, À VANCOUVER (COLOMBIE-BRITANNIQUE),

    PAR ANGELA STERRITT, JOURNALISTE ET MEMBRE DE LA NATION GITXSAN

    Vancouver - La jeune Ta'Kaiya Blaney (Eau précieuse), 10 ans, se tenait aujourd'hui à l'extérieur du bureau de la Corporation Northern Enbridge Gateway, attendant que les officiels lui permettent d'accéder au bâtiment. Elle pensait pouvoir leur remettre en mains propres une enveloppe contenant un message important sur la construction de leur pipeline. Mais les portes sont restées closes. 

     

    TaKaiya Blaney«
     
    Je ne vois pas ce qu'ils me trouvent de si effrayant, a-t-elle déclaré après avoir été mise dehors par les gardiens de la sécurité, je veux juste qu'ils entendent ce que j'ai à dire. »

    La fillette, qui est membre de la Nation Sliammon et réside à Vancouver-Nord, a fait de gros efforts pour se documenter sur les questions environnementales et en particulier sur le pipeline. Elle espérait pouvoir partager ses connaissances et avait choisi ses mots avec beaucoup d'astuce et de prudence pour évoquer ce sujet brûlant.

    Les officiels ont affirmé être dans l'incapacité de lui accorder du temps et n'ont pu émettre aucun commentaire, leur bureau ne disposant que d'un personnel technique limité. Leurs directeurs se trouvent à Calgary (Alberta).

    Aussi Ta'Kaiya se tenait-elle à l'extérieur, en compagnie de trois membres de Greenpeace, de sa mère et d'un groupe de reporters. Elle chantait sa chanson, Shallow Waters (Eaux Basses), qui a été visionnée près de 5000 fois sur You Tube :

     vidéo ci dessous

    Elle l'a co-écrite après avoir appris que la Corporation Enbridge avait obtenu la permission de construire deux pipelines jumeaux de 1170 km de long pour transporter du pétrole depuis les sables bitumineux de l'Alberta jusqu'à la côte Nord de la Colombie-Britannique. La population est largement opposée à ce projet, qui amènerait des centaines de pétroliers par an à Great Bear Rainforest, une région écologique par excellence, située le long d'une route particulièrement dangereuse pour ces derniers.

    «Les pipelines et les pétroliers vont apporter du travail aux gens, a précisé Ta'Kaiya, mais s'il se produit une marée noire comme celle de BP dans le Golfe du Mexique, ils le perdront et la vie sauvage mourra.» (...)

    (Article publié le 6 juillet 2011 dans Angela Sterritt, Vancouver, Colombie-Britannique,
    http://www.angelasterritt.wordpress.com/) ; et le 8 août 2011 dans Cultural Foundation Native Expressions (http://www.cfne.org)

     

     

    son site --> Takaiya Blaney 

     

     

     

     


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  • Plongez dans les riches traditions de la  culture  Native American.
     Fondée à la réserve de Rosebud avec la
    soutien des aînés traditionnels Lakota et des dirigeants communautaires, championnat pow-wow danseurs, chanteurs, musiciens et conteurs, ils effectuent Cokata Upo ! (Venir au Centre), un travail théâtral complexe et captivant, célébrant la culture du peuple Lakota. Live traditionnel, chants sacrés et courtisans accompagnent des danses traditionnelles, une toile de spectaculaires images vidéo entrelacée avec en agitant  les récits de la création rempli de sagesse. 

     


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