•  

    IMG_0710
     
    IMG_0713
     
    IMG_0714
     
    petite collection sympathique 
     
     

    2 commentaires
  •  

    légende
     
    Legend of the Maid of the Mist 

    La légende la plus célèbre des chutes du Niagara est celle du Maid of the Mist, le Thunder Dieu Hinum et l'origine des chutes du Niagara. Cette légende originaire de la Nation Neutre indienne qui occupait le district de Niagara, lorsque les premiers prêtres français sont venus dans leurs villages pour prêcher le christianisme. 
    L'histoire raconte que les tribus indiennes étaient en train de mourir d'une cause inconnue. Chaque année, les Indiens ont envoyé des canots remplis de fruits sur les chutes afin d'apaiser la Hinum Dieu et de ses deux fils qui croyaient que les Indiens vivaient derrière les chutes. Lorsque la chance Indiens ne s'améliore pas, ils ont estimé que leur Dieu n'était pas satisfait. Par conséquent, ils ont commencé sacrifier leur plus belle fille indienne chaque année, mais là encore leur chance ne s'est pas améliorée. 
    Une année, Lelawalo, la fille du chef de la tribu a été sacrifié à l'esprit des chutes. Elle a été placée dans un canot rempli de nourriture et envoyé sur son chemin au cours de la puissante cataracte. La légende raconte que cette jeune Indienne a été pris dans les bras de ses fils de Dieu. Rappelant qu'elle avait été envoyée à la mort, la jeune Indienne a accepté de prendre l'un des fils que son mari avec une condition. 
    Un des fils a cédé et lui a dit qu'il y avait un serpent venimeux qui vivait au fond de la rivière serait faim une fois par an et ramper jusqu'à la où les Indiens étaient et empoisonner leur eau. Les Indiens buvaient l'eau empoisonnée et mourir. Après l'enterrement, le serpent reviendrait à consommer leurs corps. 
    La jeune Indienne a convaincu le plus jeune fils du Dieu de lui permettre de revenir à la tribu une fois de plus pour leur dire ce que le serpent a été fait et la façon de les tuer avec des lances. Une nuit, quand le serpent revint, le brave Indien attendaient et a transpercé le serpent. Le serpent rampant vers le bord de la chute et meurt avec son corps en forme de fer à cheval. 
    La légende veut que la forme de la chute en fer à cheval est devenu à partir du corps du serpent. On dit qu'il demeure à ce jour, montrant que les dieux sont toujours là pour protéger les Indiens contre les mauvais esprits.
     
    publié sur mon blog avec autorisation

    votre commentaire
  •  

    drummers
    il dit qu'il est un tambour du nord
     
     

    votre commentaire
  •  

    moto mohawk
     
    superbe représentation de la marque Indian
     

    votre commentaire
  •  

     

      La vente de ces masques "sacrés" est contestée par la tribu Hopi.
     
    © CAPTURE D'ECRAN NERET-MINET TESSIER & SARROU

     

    Dans un cas rare d'une réclamation du patrimoine culturel découlant de la vente d'objets américains à l'étranger, les Indiens Hopi d'Arizona ont demandé aux fonctionnaires fédéraux pour aider à arrêter une vente aux enchères des prix élevés de 70 masques sacrés à Paris la semaine prochaine.

    suite de l'article ici  the New York Times 

    Un tribunal rejette la demande de suspension  d'une vente d'objets sacrés Hopi  le 12 Avril 2013

    James Kootshongsie
     
    L'ainé Hopi James Kootshongsie,décédé en 1996. Les Hopi sont farouchements opposés à la vente aux enchères de leurs objets à l'hotel Drouot à Paris.
    photo de  Jonathan Mazower / Survival.
     
    suite de l'article --> SURVIVAL 

     

     
    Des masques Hopis se sont arrachés vendredi aux enchères à Drouot à Paris pour plus de 900 000 € au total, en dépit des suppliques de la tribu amérindienne d'Arizona qui réclame la restitution de ces objets qu'ils jugent sacrés et qui a tenté de stopper la vente par voie de .
    «C'est une honte ! It's a shame !», s'est écriée une femme alors que la vente, organisée par la maison Neret-Minet Tessier & Sarrou, débutait dans une salle pleine à craquer, surchauffée, décorée de peintures tribales et de la photo géante d'un grand chef Hopi datant de 1935.
    Le commissaire-priseur Neret-Minet a fait appel à un service d’ordre musclé pour expulser de la salle plusieurs Amérindiens qui venaient exprimer leur indignation. « Comment peut-on mettre un prix sur une religion ?», s’est exclamé l’un d’eux. Les journalistes ont également été mis dehors. Un service d’ordre spécial a ensuite fermé les portes de la salle alors que la vente se poursuivait… dans une atmosphère lourde.
    Les 70 masques «Katsinam», qui appartenaient un collectionneur français anonyme ayant longtemps vécu aux Etats-Unis, estimés entre 600 000 et 800 000 €, sont en bois et en cuir, souvent très colorés, parfois sertis de plumes, certains représentant des animaux. Ils incarnent l'esprit des ancêtres pour les Hopis.
     
    l' Ambassadeur des Etats Unis  attristé
    Ils se sont arrachés pour un montant total de 931 435 € (frais compris) chez Drouot, contrairement aux récentes ventes d'art précolombien «fragilisées par les demandes de pays comme le Mexique ou le Pérou qui réclament la restitution des œuvres d'art et objets», selon une experte. Les acheteurs, venus très nombreux chez Drouot, n'ont pas hésité à enchérir, tendant leurs cartes de crédit, leur chéquier, pendant que le commissaire-priseur Daniel Dubois a osé une comparaison entre les yeux en forme de losange d'un des masques et le «logo de la régie Renault».

    Devant lui aussi des visages attristés, comme celui de Jean-Patrick Razon, à la tête de Survival International France, une association de défense des peuples indigènes, à l'origine, avec les Hopis, de la procédure judiciaire. L'ambassadeur des Etats-Unis, Charles H. Rivkin a twitté en direct être «attristé d'apprendre que des objets culturels sacrés Hopi soient mis aux enchères aujourd'hui ». 
    L'acteur Robert Redford a quant à lui jugé la vente «sacrilège» dans une lettre et demandé la restitution des masques à la tribu.

    «Comme si quelqu'un essayait de vendre la Torah»

    «Ce ne sont pas de simples objets d'art, nous croyons qu'ils renferment l'esprit. C'est comme pour les Juifs, si quelqu'un essayait de vendre la Torah. On ressent la même chose pour ces Katsinam», a déploré Bo Lomahquahu, 25 ans, membre des Hopis et étudiant en lettres à Paris. Devant la salle des ventes, le jeune homme, dont le nom signifie «aigle merveilleux», a expliqué qu'il espérait encore qu'un acquéreur achète l'intégralité de la collection. «Ce sont vraiment des masques très importants que nous n'exposons pas en public, qui servent à nos rites de passage. Ils ne sont pas destinés aux musées», a-t-il ajouté.

    A ses côtés, un défenseur du Comité de solidarité avec les Indiens des Amériques exhibait un drapeau noir, rouge, jaune et blanc, «le drapeau du renouveau des nations indiennes».


    La sœur de Joe Dassin achète un masque pour le rendre aux Hopis

    Parmi les acheteurs, Alain Giraud, qui vient de traduire de l'anglais un livre écrit par le chanteur Joe Dassin (1938-1980) «Cadeau pour Dorothy» (Flammarion, 2013). Joe Dassin, a-t-il expliqué, était diplômé d'ethnologie aux Etats-Unis dans les années 60 et avait été adopté par une tribu Hopi. En accord avec la soeur du chanteur décédé, la Fondation Joe Dassin a acquis l'un des premiers masques à la vente, une «tête de boue» hopi des années 1910-1920 partie à 3700 €, qu'elle compte restituer à la tribu.

    A midi, un juge du tribunal des référés avait maintenu la vente, estimant que ces masques avaient certes une «valeur sacrée» pour les Hopis, mais que cela n'en faisait pas pour autant des «biens incessibles». Dénonçant une «vision trop restrictive et mal fondée du droit», l'avocat français qui défendait les Hopi, Me Pierre Servan-Schreiber, s'est félicité cependant que cette affaire ait au moins eu le mérite de montrer une «très forte mobilisation» en faveur des Hopis. «C'est le début d'une réelle prise de conscience de l'opinion publique qui comprend que tout ne peut pas être acheté ou vendu, surtout pas quelque chose de si intime et sacré. Peut-être que dans dix ans nous gagnerons», a-t-il dit.
    article du " Parisien.fr "
     
    un autre article ► Arizona Daily Star 
     
     
    une autre vidéo ► france24 
     
     
    il est dit dans cette vidéo que ces masques avaient été vendu par les Hopis il y a 20 ou 30 ans ???je doute vraiment de la véracité de ces propos .
     
    voilà la vente de ces masques rituels et sacrés s'est faite malgré la contestation très forte des Hopis qui espéraient leurs retours chez eux ,et malgré aussi la présence de quelques militants en faveur des Premières Nations. Ou est le respect  dans tout ça? à quoi ça sert d'avoir ces masques chez soi ?
    la France ne montre pas le bon exemple ....
     
     
     

    votre commentaire
  •  

     vidéo créée par le comité Empreintes de Manawan pour dénoncer le racisme présent dans les équipes de sport. – avec Anthony QuitishPineshish MoarIsai FlamandOshim Joaquim David Ottawa,Pactonesiw BudweizineauJean-Marc FlamandBastien DubéTiffaney Ottawa FlamandMatna Ottawa-Bull,Anniie Landron-Rivera RodriguezJay NdizihiweAlie Procyszyn-Cabelli et Mikhala LS.

    c'est quand même lamentable qu'à notre époque ,que des jeunes Autochtones qui veulent faire du  sport ,subissent  encore ces insultes inqualifiables. Les blancs qui sont là bas sont sur les terres des Premières Nations qui étaient là bien avant eux .Il faut faire arrêter cette discrimination .

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires